• STATUT des FEMMES dans le Coran et dans la Bible

    LES FEMMES

    LA REPUDIATION / LE DIVORCE

    ( L'ADULTERE )

    ce que dit le Coran

    et

    ce que dit la Bible

    Sourate 2

     

    223. Les femmes sont votre champ.

    Cultivez-le de la manière que vous l'entendrez,

    ayant fait auparavant quelque acte de piété.

    (...)

    229. La répudiation peut se faire deux fois...

    (...)

    230. Si un mari répudie sa femme trois fois,

    il ne lui est permis de la reprendre

    que lorsqu'elle aura épousé un autre mari,

    et que celui-ci l'aura répudiée à son tour.

    Il ne résultera aucun péché pour aucun des deux,

    s'ils se réconcilient croyant pouvoir observer les préceptes de Dieu.

    Tels sont les préceptes

    que Dieu déclare aux hommes qui l'entendent.

    (...)

     

    232. Lorsque vous répudiez vos femmes

    et qu'elles auront attendu le temps marqué, ne les empêchez pas de...

    (...)

    233. Les mères répudiées

    allaiteront leurs enfants deux ans complets

    si le père veut que le temps soit complet.

    (...)

    Sourate 4

    3. Si vous craignez d'être injustes envers les orphelins,

    n'épousez que peu de femmes,

    deux, trois ou quatre

    parmi celles qui vous auront plu.

    (...)

    24. Si vous voulez répudier une femme

    à qui vous avez donné une dot de la valeur d'un talent *

    pour en prendre une autre, laissez-lui la dot entière.

    (...)

    * En arabe : quintar, cent dinars ou pièces d'or.

    129. Si les deux époux se séparent,

    Dieu les comblera de dons. Il est immense et sage.

    (…)

    1 Corinthiens 7 :

    25 Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Église,

    et s'est livré lui-même pour elle,

    26 afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau,

    27 afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache,

    ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible.

    28 C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps.

    Romains 7

    1 Ignorez-vous, frères,

    car je parle à des gens qui connaissent la loi,

    que la loi exerce son pouvoir sur l’homme aussi longtemps qu’il vit ?

    2 Ainsi,

    une femme mariée est liée par la loi

    à son mari tant qu’il est vivant ;

     

    mais si le mari meurt,

    elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari.

    3 Si donc, du vivant de son mari,

    elle devient la femme d’un autre homme,

    elle sera appelée adultère ;

    mais si le mari meurt, elle est affranchie de la loi,

    de sorte qu’elle n’est point adultère en devenant la femme d’un autre.

    1 Corinthiens 7 :

    2 Toutefois, pour éviter l’impudicité,

    que chacun ait sa femme,

    et que chaque femme ait son mari.

    3 Que le mari rende à sa femme ce qu’il lui doit,

    et que la femme agisse de même envers son mari.

     

    4 La femme n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari ;

    et pareillement, le mari n’a pas autorité sur son propre corps,

    mais c’est la femme.

    5 Ne vous privez point l’un de l’autre,

    si ce n’est d’un commun accord

    pour un temps, afin de vaquer à la prière ;

    puis retournez ensemble,

    de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence.

    6 Je dis cela par condescendance, je n’en fais pas un ordre.

    7 Je voudrais que tous les hommes fussent comme moi ;

    mais chacun tient de Dieu un don particulier,

    l’un d’une manière, l’autre d’une autre.

     

    8 À ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves,

    je dis qu’il leur est bon de rester comme moi.

    9 Mais s’ils manquent de continence, qu’ils se marient ;

    car il vaut mieux se marier que de brûler.

     

    10 À ceux qui sont mariés, j’ordonne, non pas moi, mais le Seigneur,

    que la femme ne se sépare point de son mari

    11 (si elle est séparée, qu’elle demeure sans se marier

    ou qu’elle se réconcilie avec son mari),

    et que le mari ne répudie point sa femme.

    Matthieu 5 :

    31 Il a été dit :

    Que celui qui répudie sa femme

    lui donne une lettre de divorce.

    32 Mais moi,

    je vous dis que celui qui répudie sa femme,

    sauf pour cause d’infidélité,

    l’expose à devenir adultère,

    et que celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère.

    Matthieu 19 :

     

    3 Les Pharisiens l’abordèrent, et dirent, pour l’éprouver :

    Est-il permis à un homme de répudier sa femme

    pour un motif quelconque ?

    4 Il (Jésus) répondit :

    N’avez-vous pas lu que le créateur, au commencement,fit l’homme et la femme

    5 et qu’il dit :

    « C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère,

    et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ? »

     

    6 Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair.

    Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.

     

    7 Pourquoi donc, lui dirent-ils,

    Moïse a-t-il prescrit de donner à la femme une lettre de divorce

    et de la répudier ?

    8 Il leur répondit :

    C’est à cause de la dureté de votre coeur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes ;

    au commencement, il n’en était pas ainsi.

    9 Mais je vous dis que celui qui répudie sa femme,

    sauf pour infidélité,

    et qui en épouse une autre,

    commet un adultère.

    ( l'adultère )

    Matthieu 5 :

    27 Vous avez appris qu’il a été dit :

    Tu ne commettras point d’adultère.

    28 Mais moi, je vous dis que

    quiconque regarde une femme pour la convoiter

    a déjà commis un adultère avec elle dans son coeur.

    Jacques 2 :

    10 Car quiconque observe toute la loi,

    mais pèche contre un seul commandement,

    devient coupable de tous.

    11 En effet, celui qui a dit :

    Tu ne commettras point d’adultère,

    a dit aussi :

    Tu ne tueras point.

    Or, si tu ne commets point d’adultère,

    mais que tu commettes un meurtre,

    tu deviens transgresseur de la loi.

    1 Corinthiens 6 :

    9 Ne savez-vous pas que les injustes n’hériteront point le royaume de Dieu ?

    10 Ne vous y trompez pas :

    ni les impudiques, ni les idolâtres,

    ni les adultères,

    ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides,

    ni les ivrognes,

    ni les outrageux, ni les ravisseurs,

    n’hériteront le royaume de Dieu.

    11 Et c’est là ce que vous étiez, quelques-uns de vous.

    Mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés,

    mais vous avez été justifiés

    au nom du Seigneur Jésus-Christ,

    et par l’Esprit de notre Dieu.

    Le Coran dit :

    « Je suis venu

    pour confirmer

    le Pentateuque et l'Evangile » !


  • Commentaires

    1
    mohiboALLAH
    Dimanche 31 Janvier 2010 à 10:36
    Que la paix soit sur vous , La femme constitue la moitié de la société. Ceci est une vérité que la raison connaît et que la réalité confirme. Lorsque nous revenons au Saint Coran, nous constatons qu’il dote la femme d’une personnalité distinguée, fondée sur le respect de soi, sur la dignité et sur la noblesse du caractère. Si le Prophète, paix et bénédiction de Dieu sur lui, dit : "Les femmes sont les s½urs germaines des hommes" c’est qu’il déduit cela de la guidance du Saint Coran. De nombreux versets nous font sentir en effet l’égalité au titre de l’humanité dans les droits naturels entre l’homme et la femme. Ainsi, le Coran parle-t-il d’elle dans des termes signifiant son partenariat avec l’homme et la responsabilité qui leur incombe conjointement.

    Par exemple, le Coran dit dans l’histoire d’Adam, le père de l’humanité : "Et Nous dîmes : ‹Ô Adam, habite le Paradis toi et ton épouse, et nourrissez-vous-en de partout à votre guise ; mais n’approchez pas de l’arbre que voici : sinon vous seriez du nombre des injustes›." [1] Le Coran dit également au sujet des femmes et des hommes : "Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément à la bienséance. Mais les hommes ont un degré sur elles." [2] Le degré en question ici est celui de la responsabilité de la famille et des soins qui lui sont dûs.

    Le Coran dit encore : "Aux hommes revient une part de ce qu’ont laissé les père et mère ainsi que les proches ; et aux femmes une part de ce qu’ont laissé les père et mère ainsi que les proches" [3]. Il dit aussi : "Leur Seigneur les a alors exaucés : ‹En vérité, Je ne laisse pas perdre le bien que quiconque parmi vous a fait, homme ou femme, car vous êtes les uns des autres." [4] Ou encore : "Les Musulmans et Musulmanes, croyants et croyantes, obéissants et obéissantes, loyaux et loyales, endurants et endurantes, craignants et craignantes, donneurs et donneuses d’aumÔnes, jeûneurs et jeûneuses, gardiens de leur chasteté et gardiennes, invocateurs de Dieu et invocatrices : Dieu a préparé pour eux un pardon et une énorme récompense." [5]

    On constate également que le Saint Coran - pour nous faire sentir la personnalité de la femme et son identité qui doit être protégée et préservée - appelle une des plus longues sourates du Coran : "Les Femmes". Il y parle d’un grand nombre d’affaires relatives aux femmes, affaires qui montrent que la personnalité de la femme dans la société islamique est fondée sur des bases de considération et de respect au regard de l’Islam. Le Coran appelle une autre sourate "La Plaideuse" qu’il commence en parlant de l’écoute accordée par Dieu, par-dessus sept cieux, à une femme qui discutait avec le Prophète et conversait avec lui. Il dit au début de cette sourate : "Dieu a bien entendu la parole de celle qui discutait avec toi à propos de son époux et se plaignait à Dieu. Et Dieu entendait votre conversation, car Dieu est Audient et Clairvoyant." [6]

    Le Sage Coran nous parle également de la femme en indiquant que sa personnalité s’élève vers le ciel lorsqu’elle se pare d’un certain nombre de vertus religieuses et sociales. Il s’adresse ainsi à certaines épouses du Prophète dans la sourate 66, l’Interdiction, leur disant : "S’il (Muhammad) divorce d’avec vous, il se peut que son Seigneur lui donne en échange des épouses meilleures que vous, musulmanes, croyantes, obéissantes, repentantes, dévotes et jeûneuses" [7], autrement dit, obéissant à Dieu, accomplissant Ses droits, préservant ce qui doit être préservé au niveau de l’âme, des biens et de l’honneur. De telles femmes se caractérisent par l’honnêteté et la pureté, et sont des émigrées (de la Mecque vers Médine) et des jeûneuses. Ces vertus sont en vérité les mères de toutes les vertus.

    Le Saint Coran nous présente par ailleurs de fabuleux exemples des meilleures femmes de l’histoire de l’humanité. Il nous parle ainsi de femmes exemplaires par la foi, l’endurance, la pureté, l’attachement au lien robuste de Dieu. Elles ont ainsi bénéficié au cours des siècles d’une histoire éternisée et d’une mémoire glorieuse. Écoutons donc ce que dit Dieu le Très-Haut : "Et Dieu a donné l’exemple, pour ceux qui croient, de la femme de Pharaon, quand elle dit : ‹Seigneur, construis-moi auprès de Toi une maison dans le Paradis, et sauve-moi de Pharaon et de ses actes ; et sauve-moi des gens injustes›. De même, Marie, la fille d’Amram, qui avait préservé sa virginité ; Nous y insufflâmes alors de Notre Esprit. Elle avait déclaré véridiques les paroles de son Seigneur ainsi que Ses Livres : elle fut parmi les dévoués." [8]

    Le Coran reprend à plusieurs reprises le discours au sujet de la Pure et Vierge Marie, de l’honneur dont elle a été pourvue, de sa pureté, de sa préservation d’elle-même. Il dit par exemple à son sujet : "Son Seigneur l’agréa alors d’un bon agrément, la fit croître de belle manière. Et Il en confia la garde à Zacharie. Chaque fois que celui-ci entrait auprès d’elle dans le Sanctuaire, il trouvait près d’elle de la nourriture. Il dit : ‹Ô Marie, d’où te vient cette nourriture ?› - Elle dit : ‹Cela me vient de Dieu. Il pourvoit certes de biens à qui Il veut sans compter›." [9] Le Coran dit également : "Et quand les Anges dirent : ‹Ô Marie, certes Dieu t’a élue, t’a purifiée et t’a élue au-dessus des femmes des mondes. Ô Marie, obéis à Ton Seigneur, prosterne-toi, et incline-toi avec ceux qui s’inclinent›." [10]

    Le Coran nous parle aussi de la mère de Moïse symbolisant l’instinct maternel dans ses significations les plus profondes, pleine de crainte pour son nouveau-né, pleine de sollicitude pour son fils unique chéri. Néanmoins, elle ne se rebelle pas contre la décision de son Seigneur : "Et quand tu craindras pour lui, jette-le dans le flot. Et n’aie pas peur et ne t’attriste pas : Nous te le rendrons et ferons de lui un Messager›." [11] Après avoir jeté son fils dans le flot du Nil, son unique préoccupation devient de penser à lui, de par la nature de sa maternité et de sa tendresse. Cependant, elle s’en remet à l’aide de Dieu qui renforce son c½ur et le raffermit. Ainsi, le Coran dit : "Et le c½ur de la mère de Moïse devint vide. Peu s’en fallut qu’elle ne divulguât tout, si Nous n’avions pas renforcé son c½ur pour qu’elle restât du nombre des croyants." [12] On comprend alors que parmi les caractéristiques de la personnalité éminente chez la femme vertueuse : la foi en Dieu, la confiance en Lui et l’endurance dans l’adversité.

    Dans le Saint Coran, Dieu indique également que la femme a pu, à certaines époques antérieures, atteindre de hauts rangs prestigieux. Ainsi nous parle-t-il de la Reine de Saba, remarquable par son intelligence, sa vision profonde des choses, son ouverture d’esprit qui l’amène à demander conseil. Le Coran dit de cette femme, dans son épisode avec Salomon : "Elle dit : ‹Ô notables ! Conseillez-moi sur cette affaire : je ne déciderai rien sans que vous ne soyez présents pour me conseiller›. Ils dirent : ‹Nous sommes détenteurs d’une force et d’une puissance redoutables. Le commandement cependant t’appartient. Vois donc ce que tu veux ordonner›." [13] Après que le Coran nous a raconté son attitude face à Salomon, il nous apprend que la Reine de Saba a fini par croire en Dieu, déclarant : "Je me soumets avec Salomon à Dieu, Seigneur de l’univers" [14].

    La femme peut prouver, grâce à sa personnalité noble, ses belles vertus et ses ½uvres grandioses, qu’elle est la moitié de la société que l’on ne peut en aucun cas mésestimer.

    Dieu, Exalté soit-Il, est Le plus Savant
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